Vingt  femmes victimes d’infertilité ont reçu chacune un chèque de près cinq millions de francs pour exercer  des activités génératrices de revenus  Elles sont membres du deuxième groupe bénéficiaires de la générosité de Madame Djènè Condé, Première Dame de Guinée  grâce à l-appui de la Fondation MERCK.  La similitude entre toutes ces dames, c’est qu’elles sont victimes de la Tradi-praticienne Nna Fanta qui au lieu de les aider à procréer, leur a plutôt donner des complications de santé avec les  potions qu’elle leur administrait.   

Le mardi 13 juillet 2021, le siège du Cabinet de la Première Dame de Guinée et Présidente de la Fondation PROSMI a servi de cadre à la remise de chèque au deuxième groupe des victimes de Nna Fanta. Outre les bénéficiaires, la cérémonie a connu la présence de la Cheffe de cabinet du Ministère des Droits et de l’Autonomisation des Femmes, des Représentants du Ministère de la Santé, des femmes cadres et de l’ensemble des collaborateurs de la Première Dame

 Cette action humanitaire est l’un des fruits des bonnes relations entre les Fondation PROSMI et MERCK. Comme l’a rappelé Karfalla Kaba, Directeur Exécutif de la Fondation PROMI, les deux Institutions ont octroyé des bourses de formations à des médecins dans le traitement de l’infertilité, en oncologie et au traitement du diabète.  Plus de cent journalistes ont été outillés dans le processus de lutte contre la stigmatisation des femmes infertiles « Nous avons décidé d’aider ces femmes à s’autonomiser et à enfanter car quelque soit ce que nous leur donnons le plus important pour elle consiste à concevoir. En 2019, un premier groupe a bénéficié et aujourd’hui, c’est le deuxième groupe ; nous formons également des médecins : ce qui est dextrement important pour trouver une solution pour ces femmes »

Ce geste a été salué par les bénéficiaires qui par la voix de Madame M’Ballia Bangoura ont  remercié la Première Dame de la République pour sa participer à leur objectif d’autonomisation. La stigmatisation dont elles sont souvent victimes aura peut être un jour une fin  car elles ne désespèrent pas. Cette aide leur remonte le moral et comme a suggéré M. Kaba : « Il va falloir que les médecins que nous formons réussissent à faire de la fécondation in vitro (FIV) en plus de l’insémination artificielle »